Quand le Hip Hop vient à Paris, les hip hop parisians addict se doivent de répondre présent ! BAHAMADIA, la rappeuse de Philly, ça vous dit quelque chose ?! Bahamadia sera en concert à Paris ce mercredi 02 mai 2018. C’est au Bizz’art qu’elle entamera une tournée européenne qui l’emmènera principalement en Allemagne et en UK.
Elle creuse son sillon depuis les années 80 et commence comme dj ! Son flow et son style très jazz, très smooth l’amène à collaborer avec des artistes comme Talib Kweli, The Roots, Jedi Mind Tricks ou encore le collectif Army of the Pharaohs ! Mais c’est sa rencontre avec Guru (Gang Starr) qui va lui permettre de passer une étape importante en signant « Total Wreck » en 1994 et le cultissime « Uknowhowwedu » en 1995 sous le label Chrysalis Records. Son parcours est celui d’une artiste dont les textes sont reconnus et respectés ! Elle s’élève au rang de légende car chacune de ses participations et collaborations sont de véritables cartons et signataire d’un style « Smooth Hip Hop » qui a bercé toute une génération d’addict au Hip Hop !
Après avoir fait venir sur le sol parisien, Eric Roberson et Avery Sunshine, la programmation du Bizz’art nous propose une Hip Hop Legend qui vient nous inonder le 02 mai 2018 son rap fluide et de son aura de rappeuse incontournable ! Un événement dans tous les sens du terme !
WARM UP BY DJ MISS MAK & DJ JP MANO | LIVE OPENING BY TIEMOKO & DJ SOUL INTELLECT
BIZZ’ART | 167 QUAI DE VALMY 75010 PARIS. M° JAURES ou LOUIS BLANC | BIZZARTCLUB.COM
Réservations : BILLETS PREVENTES
C’est l’histoire du titi parisien Julien, la sneaker colorée, la barbe dandhipster qui va avec, la passion des bons gueuletons et des flacons qui vont de pair. Un p’tit gars au parcours gastronomique classique qui a décidé de voler de ses propres ailes, les trente bougies à peine atteintes.
Il fait des crêpes salées et des crêpes sucrées. Il a du charisme, une grande gueule, une bienveillance logée dans un esprit vif et malin. Il s’appelle Kissima Gassama et il est le jeune fondateur de la crêperie « Crêpe a Ding ». Autant vous dire qu’on est sur un double jeu de mot qui mêle la douce dinguerie qui accompagne notre personnage et cette culture mandingue qu’il véhicule avec beaucoup de brio. Ce petit local situé à deux pas de la Place Léon Blum ne paye pas de mine et pourtant c’est clairement le cœur battant de la rue Richard Lenoir. Un véritable lieu de vie qui déborde d’une énergie folle et d’un dynamisme que je n’ai pas vu depuis très longtemps. Bon, vous me direz, des crêpes ok ! rien de nouveau sous le soleil. Seulement, l’enseigne Crêpe a Ding ne ressemble à rien de ce que vous connaissez. Tout d’abord, Kissima est la personnalité incontournable du coin. Il tient son petit commerce avec une poigne solide et une volonté d’être un acteur indéniable de la crêpe parisienne. Ensuite, il y a l’originalité de l’accueil et cette partie de Puissance 4 qu’il vous invite à faire contre lui. Et si vous le battez vous remportez un an de crêpe gratuite. En voilà un défi attirant, mais seulement il est très fort ! Alors à tous les challengers, la porte de la Crêpe a Ding est grande ouverte midis et soirs. Pour finir, les crêpes de Kissima sont justes fabuleuses, la pâte à crêpe juste mortel, les recettes sont alléchantes et elles ont un goût que l’on retrouve rarement avec des produits frais uniquement, les crêpes sont délicieuses (ndlr : je vous l’assure j’en ai mangé deux de suite) ! My Media Room aime Crêpe à Ding et on vous le recommande à 100% ! Attention nous n’avons pas fini de vous parler de Kissima, de ses crêpes, de son charisme et de ce jeune homme plein de ressources sur notre site soit dans nos émissions ou dans le magazine dès qu’il aura une actu à souligner parce que quand on aime on vous parle ! 
ERIC ROBERSON, chanteur, producteur et compositeur est l’une des figures importantes de la scène indépendante aux Etats-unis ! Il est également connu pour avoir écrit et produit pour Jill Scott, Musiq Soulchild ou encore Dwele. Premier artiste indépendant a avoir été nommé aux BET Awards en 2007, il est aussi nommé en 2010 et 2011 aux Grammy Awards. L’auteur de 10 albums studio a signé son dernier album en date « The Box » sorti en 2014. L’année dernière, c’est avec une collection de 3 albums qu’il nous a régalé en signant : « Earth », « Wind » et « Fire » qu’il nous présentera à Paris.
Cette fois-ci, et comme très souvent, Sandra est une femme libre qui nous livre un à l’occasion de la Journée Internationale du Droit des Femmes un clip fort et personnel ! Elle exprime ce qu’elle a au plus profond d’elle-même dans un cri de paix face à toutes ces violences subies par de nombreuses femmes ! C’est sa condition de femme « noire, artiste, vivante, amie, amoureuse, mère, forte, impatiente et résistante » qui la pousse à nous proposer ce clip fort en sens à l’esthétique forte et intense. Une rythmique qui sonne comme un coeur qui bat, comme pour dire à quel point elle vit, à quel point elle est multiple. Ce morceau est un appel à voir, entendre, comprendre et accepter ce que nous sommes face à nos souffrances, nos obstacles qui se présentent sur notre chemin de vie.
Tous les mois, le Carreau du Temple propose des rencontres et des conférences sous forme de conversations afin de mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Un format inédit qui s’appelle « Faire le présent » C’est à l’initiative du philosophe/sociologue Geoffroy de Lagasnerie que « Faire le présent #7 » réunira nos amis photographes Nnoman Cadoret, Julien Pitinome le mercredi 11 avril 2018 à 19h au CARREAU DU TEMPLE ! 
« Ce que nous « voyons », ce que nous « capturons », ce que nous « montrons » est-ce que nous pouvons et devons changer.. » Avec leur travail, ils attirent l’attention sur ce que l’espace médiatique cache et dissimule : luttes sociales, quartiers populaires, situation des migrants, Calais, etc…. Ils posent la question de l’éthique du journalisme, de l’espace public e
